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ARTICLES ET REALISATIONS

Des matériaux naturels pour votre isolation…

Pour répondre à la curiosité de nos clients concernant l’isolation de nos structures, nous souhaitons à travers cet article vous apporter quelques réponses concernant les isolants naturels biosourcés, que nous utilisons pour isoler nos kits.

Précision faite sur le fait qu’il n’y a pas d’isolant type à préférer.

Le choix devra s’effectuer en prenant en compte les critères spécifiques, notamment ceux liés au chantier concerné comme :

  • les contraintes techniques liées aux matériaux des murs par exemple (murs en béton, en pisé, en ossature bois, …)

  • l’épaisseur disponible dans le contenant : épaisseur du mur, du solivage pour le toit, …

  • les contraintes liées à l’environnement : taux d’humidité, l’orientation,

  • la facilité de mise en œuvre,

  • la durabilité souhaitée

  • Le confort recherché : acoustique, thermique…

  • Le tarif

D’autres critères peuvent entrer en compte tels que :

  • l’impact carbone lié à la production,

  • la possibilité de réutilisation,

  • la présence de COV,

Avec l’ensemble de ces données, il vous faudra alors évaluer les critères de chaque isolant en privilégiant :

  • pour le confort d’été, un matériau isolant qui dispose d’une forte inertie thermique et d’une faible conductivité,

  • Pour la performance phonique, on privilégiera ainsi les isolants garantissant une excellente étanchéité à l’air,

  • La suppression de tous les ponts thermiques, en préférant les isolants intrinsèquement étanches à l’air et à l’eau,

  • Un coefficient de résistance thermique élevé sachant que plus le coefficient R est élevé, plus le matériau est isolant et moins la consommation énergétique du logement sera élevée.

  • résistance thermique est déterminée par 2 paramètres :

  • la conductivité thermique (capacité de l’isolant à conduire la chaleur), exprimée par le coefficient Lambda (λ) . Retenir que plus la conductivité est faible, plus le matériau sera isolant.

  • l’épaisseur de l’isolant : à conductivité thermique équivalente, plus un isolant est épais, plus sa résistance thermique est élevée.

  • La durée de vie de l’isolant : l’important est que l’isolant ne se tasse pas avec le temps afin de conserver une excellente tenue mécanique, gage d’un maintien durable de ses performances isolantes

  • Les qualités environnementales et sanitaires : viser une impact nul ou limité du matériau sur la qualité de l’air intérieur (absence d’émissions de COV)

L’énergie grise devra être idéalement faible en CO2, sur l’ensemble du cycle de vie du produit

  • Une certification du produit, qui permet quant à elle, d’avoir une fiabilité des performances techniques indiquées. A ce titre, ne pas omettre que les mesures de performances d’un isolant dans les conditions neutres d’un laboratoire peuvent ne pas suffire. En effet, ces mesures devraient être complétées par des mesures de performances dans des conditions réelles et sur la durée de vie de l’isolant.

  • A veiller à la qualité de mise en œuvre : pour une mise en œuvre correcte, il convient de respecter les règles définies dans le DTU concerné (Document Technique Unifié) ainsi que les préconisations de pose du fabricant.

Quelques exemples d’isolants adaptés à nos structures…

paille_de_riz.png

Les panneaux rigides en fibres de bois peuvent être utilisés comme écrans de sous-toiture et jouent un rôle de pare-pluie. Ils peuvent être exposés directement aux intempéries pendant trois mois, en restant imperméables à l'eau. La laine de bois, que l’on appelle aussi fibre de bois suivant sa rigidité, est un isolant naturel qui affiche d’excellentes performances thermiques. L’application en façade est aussi réalisable avec du bardage, notamment pour une ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur).

Beaucoup de questions sur les isolants naturels viennent à l’esprit au moment de faire son choix. Les critères de sélection étant nombreux : emprunte carbone, tarif, faisabilité, facilité de mise en œuvre, durabilité, confort thermique et physiologique, confort acoustique...

Je souhaite vous présenter un isolant écologique et innovant qui me paraît plus qu’intéressant à travailler :

La Paille de Riz en panneau.

Il me semble important de valoriser cet isolant car la paille de riz représente un déchet agricole fibreux difficilement

compostable, très mauvais combustible et mal digéré par les animaux. L’utiliser comme matière première pour l'intégrer dans des produits manufacturés, c’est transformer un problème environnemental en valeur et limiter la consommation,

voire le gaspillage, d’autres matières non renouvelables pour un même usage.

Convaincu de l’intérêt que vous pourrez porter aux performances techniques de ces panneaux, je vous invite à cliquer sur le lien présent sous l'image ci-dessus afin de peut-être conforter votre choix quant à l’utilisation d’un isolant biosourcé.

Oozwood AURA, utilise-t-elle réellement une solution Eco Responsable ?

VRAI

Oozwood AURA a fait le choix de se positionner sur le domaine de l’éco-construction. La solution constructive nécessite peu d’énergie et de moyens, afin d’être la plus écologique et économique possible.

Ainsi, nous revalorisons des palettes EPAL d’occasion et isolons nos constructions avec des matériaux naturels. Ceux-ci sont aussi issus de concepts de revalorisation, tels que l’isolant Métisse en laine de coton ou encore les panneaux semi-rigides biosourcés FBT en paille de riz de Camargue.

De ce fait, le concept de revalorisation est bien présent et la future Réglementation Energétique 2020 ne nous donnera pas tort d’un point de vue « impact carbone » 

En bref, la solution constructive à base de palettes recyclées véhicule de belles valeurs en leur offrant un débouché supplémentaire.

Mais elle n’en reste pas moins porteuse de questionnements récurrents, tant sur le domaine de la construction bois que sur les matériaux naturels utilisés pour l’isolation.

 

Je vous exposerai donc mon point de vue dans les futurs articles « Vrai-Faux ».

A savoir que les arbres stockent du carbone et que celui-ci est conservé après coupe. Mais cet impact positif peut être annulé en fin de vie du matériau car si le bois est brûlé, le carbone contenu sera réémis.

puisque nous évitons ainsi la production de déchets supplémentaires. Pour rappel en France, 300 000 palettes par jours ouvrés ne retrouvent pas assez de débouchés  de revalorisation.

Le P'tit +

Le bois, ça brûle! C’est donc moins costaud que d’autres constructions traditionnelles ?

FAUX

Je vous invite, si vous en connaissez, à demander leur point de vue à des pompiers. Ils vous expliqueront qu’ils sont souvent autorisés à intervenir plus longtemps dans un bâtiment lorsque la charpente est en bois par rapport à de l’acier… Mais pourquoi?

En réalité, il faut comprendre le comportement du bois face au feu. La réaction du feu sur le bois, qui se consume lentement, génère une couche carbonisée en surface. Cette couche isole le cœur de la poutre et lui permet de conserver ses caractéristiques techniques plus longtemps, notamment sa résistance mécanique à la charge.

L’acier va quant à lui, grimper en température (transmission de chaleur en comparaison au bois = x 250), et se ramollir rapidement.

Le béton armé, lui, grimpe en température (transmission de chaleur en comparaison au bois = x 10), et le métal contenu s'échauffe, se dilate et éclate le béton qui le contient.

Il faut bien retenir qu’un des éléments qui nous intéresse lors d’un incendie, c’est que le bâtiment puisse résister un maximum de temps face au feu de manière à laisser le temps aux occupant d’évacuer les lieux (tenue au feu de minimum 15 minutes avant effondrement pour les maisons individuelles).

Mais encore ne faut-il pas avoir été intoxiqué par les gaz émis, me direz-vous…

Il faudra alors, en effet, porter une réflexion sur la réaction et la résistance des matériaux utilisés et préférer ceux émettant le moins de toxicités possibles.

Aussi, découvrez cette vidéo permettant de mieux appréhender le comportement du feu sur une maison isolée en paille. 

https://www.youtube.com/watch?v=gFZz3DXniDw

Le P'tit +

Une construction bois ne brûlera donc pas plus vite.

Mais mieux vaut prévenir que guérir: quelque soit votre type de construction, soyez vigilants aux gestes essentiels de sécurité et installez un détecteur de fumée. C’est plutôt simple et économique…

« J’ai peur que le bois utilisé pour le bardage de notre extension

nous génère trop d’entretien? »

VRAI

FAUX

et

Le bardage constitue l’enveloppe de l’habitat. Il existe plusieurs matériaux pour cela : le bois, le zinc, le métal, le pvc ou encore l’ardoise.

Le bois est un des plus utilisés car économique d’une part, il est aussi écologique (capteur carbone), isolant phonique et thermique, et assure une protection de l’ossature du mur.

 

Selon les essences de bois utilisées, il faudra faire face à diverses réactions par rapport à l’exposition plus ou moins importante à l’humidité, aux intempéries et au soleil.

Oui le bois est un matériau naturel et oui, son aspect va réagir face à ces éléments.

C’est là que prend tout le sens de cette question.

Sans traitement chimique, le bois thermo-traité peut être pour vous un réel compromis, car ce traitement naturel lui permet de modifier définitivement ses propriétés physiques et chimiques.

- Taux d'humidité moins élevé (40 à 50% moins élevé que le bois non traité)

- Résistance accrue aux intempéries

- Stabilité dimensionnelle (diminution de 70% du gonflement ou du rétrécissement)

- Résistance aux attaques fongiques et moisissures

- Absorption d’humidité moindre

- Rigidité augmentée

Frédéric SAVORGNAN, le 16 décembre 2020

Le P'tit +

Concernant la qualité mécanique du bois, le changement d’aspect n’y fera rien et le bois gardera sa durabilité.

Concernant l’esthétique, le bardage grisera dans le temps et c’est là une certitude.

Si cet aspect ne vous dérange pas, l’entretien en sera allégé. Dans le cas contraire, vous  aurez à privilégier l’utilisation de saturateur, laitance, lasure ou peinture, à fréquence régulière, pour en prolonger l’aspect d’origine.

A ceux pour qui l’esthétique reste important, sachez néanmoins que d’autres solutions existent pour limiter l’entretien des bois de bardage naturel.

Message particulier en cette période particulière... 😷

" Dans l'attente de notre prochain article "VRAI-FAUX" lié aux questionnements que soulève notre solution constructive, je me permets de partager cette vidéo.

Elle a été produite dans le cadre d'un appel de fonds permettant la réalisation d'un démonstrateur en Haute-Loire qui, je l'espère, verra bientôt le jour…

Amicalement, 

😉🌱🌱🌱 "

Frédéric SAVORGNAN, le 13 novembre 2020

Oozwood AURA 

présente son démonstrateur !

Simple, rapide, écolo, robuste et modulable,

le démonstrateur Oozwood AURA, présenté dans cette vidéo, vous aide à comprendre le système constructif,

Il ne vous reste plus qu'à faire preuve d'imagination afin de personnaliser votre futur projet

 

😉🍃🍃🍃

Frédéric SAVORGNAN, le 7 octobre 2020

Oozwood AURA,

un accompagnement personnalisé !

"Construction, agrandissement, réhabilitation, quel que soit votre projet, Oozwood AURA vous accompagne dans sa conception, en s'adaptant à vos besoins, votre environnement et en respect des règles d'urbanisme de votre secteur. 

Voici quelques exemples de propositions..."

Frédéric SAVORGNAN, le 27 août 2020

Exemple de réalisation d’un cloisonnement…

…en quelques étapes !

réalisation_d'un_cloisonnement_image.jp
  • Préparation de la liaison au sol (ici en béton).

 

  • Réalisation du tracé en veillant au bon équerrage de la structure.

  • Assemblage de la pièce Sylcat et des palettes, niveau par niveau.

              

  • Option possible, l’isolation au sein de l’ossature du mur n’a pas été retenue.

  • Fixation de plaques de contreventement en OSB3, apportant rigidité et esthétisme à l’ossature, de chaque côté de la paroi.

 

  • Aménagement du local en bureau, avec création d’un module à usage de toilettes sèches.

Frédéric SAVORGNAN, le 3 août 2020

Mise en valeur d'un isolant naturel : la paille de riz

paille_de_riz.png

- Une isolation saine, naturelle et durable en paille de riz de Camargue

- Des performances thermiques certifiées selon NF EN 12667

- Un très faible impact environnemental garanti

- Des panneaux semi-rigides adaptés à la majorité des configurations d'un bâtiment

- Une gamme disponible de 45 à 200 mm d'épaisseur

- Un confort de pose et des composants sains pour les utilisateurs

- Mise en oeuvre détaillées dans les ATEx murs et toitures de l'isolant FBT PR

Beaucoup de questions sur les isolants naturels viennent à l’esprit au moment de faire son choix. Les critères de sélection étant nombreux : emprunte carbone, tarif, faisabilité, facilité de mise en œuvre, durabilité, confort thermique et physiologique, confort acoustique...

Je souhaite vous présenter un isolant écologique et innovant qui me paraît plus qu’intéressant à travailler :

La Paille de Riz en panneau.

Il me semble important de valoriser cet isolant car la paille de riz représente un déchet agricole fibreux difficilement

compostable, très mauvais combustible et mal digéré par les animaux. L’utiliser comme matière première pour l'intégrer dans des produits manufacturés, c’est transformer un problème environnemental en valeur et limiter la consommation,

voire le gaspillage, d’autres matières non renouvelables pour un même usage.

Convaincu de l’intérêt que vous pourrez porter aux performances techniques de ces panneaux, je vous invite à cliquer sur le lien présent sous l'image ci-dessus afin de peut-être conforter votre choix quant à l’utilisation d’un isolant biosourcé.

Frédéric SAVORGNAN, le 10 juin 2020

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Entreprises, indépendants,

Auto-entrepreneurs,

Communautés de communes

Combien d’entrepreneurs n’ont pas eu de difficultés à s’installer sur des zones d’activités, faute de loyers trop onéreux, ou de locaux inadaptés en terme de surface. Combien n’ont pu trouver de solutions et ont dû débuter leurs activités chez eux, alors qu’il paraît nécessaire, et encore plus à ce moment là de la création d’une société, d’être visible, d’avoir un environnement de travail adapté et favorisant la mise en relation.

Pour y avoir été moi-même confronté, j’ai donc proposé aux propriétaires fonciers de ces zones, d’occuper une partie de leur espaces extérieurs inexploités, sans que cela n’occasionne de gêne à leur activité.

Inutilisés, laissés à l’abandon, ces espaces ne véhiculent pas une belle image aux clients. Entretenus, ils peuvent générer un coût d’entretien important ou une perte de temps non négligeable. De nombreux m²² pourraient être mutualisés et aménagés pour accueillir des modules permettant de lancer une activité,  à moindre coût. Cela permettrait également de partager les charges relatives à l’entretien.

La logique est la même pour l’occupation de votre espace intérieur. Le partitionner permet de rentabiliser son occupation, avec des espaces de travail partagés ou non, et modulaires si vos besoins évoluent dans le temps. L’aménagement d’anciennes usines désaffectées, de locaux abandonnés, peut aussi être une piste à travailler afin d’accroitre la quantité de locaux disponibles, pour les collectivités en manque d’offres. Les espaces partagés (coworking, centres d’affaires), plutôt en vogue et attractifs pour ce qu’ils apportent, peuvent être une solution d’occupation de ces espaces.

Elles tissent un lien avec la communauté qui l’occupe, permettent une animation plus aisée de celle-ci et contribuent au développement de vos activités.

La solution constructive que nous proposons peut répondre à vos besoins d’aménagements intérieurs et extérieurs.

Je vous propose dans cette vidéo de découvrir un exemple d’aménagement réalisé par notre partenaire SORFRINNOV pour une société souhaitant stocker ses produits en les classant en lots…

Frédéric SAVORGNAN, le 23 mai 2020

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Prémices d'un partenariat fondé sur des valeurs environnementales et sociétales communes

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : "Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! "

Et le colibri lui répondit : "Je le sais, mais je fais ma part."

Lier ses convictions personnelles et sa profession représentait un premier pas. Ainsi, à l'image du petit colibri, je souhaitais pouvoir être acteur pour le monde de demain même si l'impact de mes actions pouvait paraître mineur. Il me fallait monter un projet soucieux de l'environnement et responsable. Attiré par les constructions alternatives, de plus en plus en vogue notamment dans les lieux de vie partagés (type oasis), le travail à réaliser autour de cette solution constructive m'a paru comme étant une évidence.

existent et qu’elle peuvent être, elles aussi, tout aussi performantes et plus économiques. 

La croissance permanente du marché de la construction nécessite de concevoir des techniques plus respectueuses de l'environnement et cette innovation en est une, et qui plus est, efficiente.

Elle nous permettra, de répondre à vos besoins avec efficacité, pour une expérience réussie.

Oozwood AURA est ainsi née de l’idée de collaboration avec la société SOFRINNOV et plus particulièrement avec son président, Jean-Claude ESCRIVA, concepteur du module d’assemblage de palettes (le Sylcat) et désormais partenaire.

A travers divers services proposés en région Auvergne-Rhône-Alpes, OOZWOOD AURA souhaite porter ce système constructif innovant par la réalisation de chantiers éco-responsables mais aussi, contribuer à démontrer que des méthodes alternatives aux constructions classiques

Frédéric SAVORGNAN, le 14 mai 2020

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